Pas encore identifié(e) ?
Se connecter / Créer un compteMon panier
0 article articles Votre panier est vide.Mon panier
0 article articlesAucun produit
Ajouté au panier
Votre panier contient 0 articles. Votre panier contient 1 article.
Pfizer 3340848
Nouveau
4,20 €
RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE, comprimé enrobé
Il est indiqué chez l'adolescent (15-17 ans) et l'adulte, dans le traitement symptomatique de la congestion nasale, associée à une rhinosinusite aigüe, présumée virale avec céphalée et/ou fièvre.
Pour acheter ce médicament veuillez-vous vous connecter ou créer un compte
Fermer En achetant ce produit vous pouvez gagner jusqu'à 4 points de fidélité
Vous devez atteindre 250 points de fidélité pour bénéficier de cette réduction.
Votre panier totalisera 4 points pouvant être transformé(s) en un bon de réduction de 0,10 €.
Seulement 14 article disponible articles disponibles
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité:
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE, comprimé enrobé
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chaque comprimé contient 200,00 mg d'ibuprofène et 30,00 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Comprimé enrobé, ovale, de couleur brun-rosé, imprimé RHINADVIL sur une face.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Il est indiqué chez l'adolescent (15-17 ans) et l'adulte, dans le traitement symptomatique de la congestion nasale, associée à une rhinosinusite aigüe, présumée virale avec céphalée et/ou fièvre.
4.2. Posologie et mode d'administration
Mode d'administration:
Voie orale.
Les comprimés sont à avaler tels quels avec un grand verre d'eau, de préférence au cours des repas.
Posologie:
RESERVE A L'ADOLESCENT (15-17 ans) ET L'ADULTE.
1 comprimé (200 mg d'ibuprofène / 30 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine) par prise, à renouveler si besoin au bout de 6 heures.
En cas de symptômes plus intenses, 2 comprimés (400 mg d'ibuprofène / 60 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine) par prise, à renouveler si besoin au bout de 6 heures, sans dépasser 6 comprimés (1200 mg d'ibuprofène / 180 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine) par jour.
Dans tous les cas, ne jamais dépasser la posologie maximale de 6 comprimés (1200 mg d'ibuprofène / 180 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine) par jour.
La durée maximale du traitement est de 5 jours.
Si un seul symptôme prédomine, douleur et/ou fièvre, ou congestion nasale, il est préférable d'utiliser une seule molécule.
4.3. Contre-indications
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes:
o à d'autres médicaments vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine) et au méthylphénidate.
o aux IMAO non sélectifs (iproniazide).
Ce médicament NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE UTILISE en association avec:
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Eviter l'utilisation de RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE en même temps que d'autres AINS contenant des inhibiteurs de la cyclooxygénase 2.
Les effets indésirables peuvent être atténués par l'utilisation de la plus petite dose efficace associée à la plus courte durée nécessaire pour contrôler les symptômes (voir rubrique « effets gastro-intestinaux et risques cardiovasculaires ci-après »).
La persistance des symptômes au-delà du 5eme jour de traitement par RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE impose de réévaluer la conduite à tenir, et notamment l'intérêt éventuel d'un traitement antibiotique. La rhinosinusite aiguë présumée virale est définie par des symptômes rhinologiques bilatéraux, d'intensité modérée, dominés par une congestion nasale avec rhinorrhée séreuse ou puriforme, survenant dans un contexte épidémique. L'aspect puriforme de la rhinorrhée est fréquent et ne correspond pas systématiquement à une surinfection bactérienne. Les douleurs sinusiennes, lors des premiers jours, sont liées à une congestion de la muqueuse des sinus (rhinosinusite aiguë congestive) et sont le plus souvent spontanément résolutives. En cas de sinusite aiguë bactérienne, un traitement antibiotique est justifié. |
Mises en garde spéciales
Liées à la présence de chlorhydrate de pseudoéphédrine:
o en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète,
o en cas d'association avec les antimigraineux, notamment les vasoconstricteurs alcaloïdes dérivés de l'ergot de seigle, en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.
o de ne pas prescrire ce traitement
§ en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux;
§ en cas d'antécédents convulsifs.
o de respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informer le patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs.
o Le sujet âgé pourrait être plus sensible aux effets sur le système nerveux central.
Liées à la présence d'ibuprofène:
Effets gastro-intestinaux
Des ulcérations, perforations, hémorragies, pouvant être fatales ont été signalées avec tous les AINS, quelle que soit la durée de traitement, avec ou sans antécédent ou signe avant-coureur.
Le risque d'hémorragie, ulcération ou perforation pouvant être fatales augmente avec les doses d'AINS, chez les patients ayant des antécédents d'ulcère (compliqués en particulier d'hémorragie ou perforation) (voir rubrique 4.3),chez les patients plus âgés. Ceux-ci devront commencer le traitement avec la dose la plus faible. L'association avec des muco-protecteurs (i.e misoprostol inhibiteurs de la pompe à proton) doit être envisagée pour ces patients, pour ceux qui prennent en même temps de faible dose d'aspirine, ou d'autres molécules pouvant augmenter le risque gastro-intestinal (voir ci-après et rubrique 4.5).
Les patients ayant des antécédents de toxicité gastro-intestinale, en particulier les sujets âgés, peuvent présenter des symptômes abdominaux inhabituels en début de traitement (saignements gastro-intestinaux en particulier).
Prudence particulière chez les patients recevant simultanément des médicaments susceptibles d'augmenter le risque d'ulcère ou d'hémorragie, tels que corticoïdes oraux, anticoagulants tels que warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, anti-agrégant plaquettaires tels que l'aspirine (voir rubrique 4.5).
En cas d'hémorragie gastro-intestinale ou d'ulcère, arrêter immédiatement le traitement avec RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE.
Les AINS seront prescrits avec précautions chez les patients ayant des antécédents gastro-intestinaux (colite ulcéreuse, maladie de Crohn) pour ne pas exacerber ces pathologies (voir rubrique 4.8).
Effets cardio et cérébro-vasculaires
Des études cliniques et épidémiologiques suggèrent que l'ibuprofène, particulièrement à doses élevées, (supérieures à 2.400 mg/jour), et à long terme peut être associé à une légère augmentation du risque de thrombose artérielle (i.e infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral). Généralement, d'après les études épidémiologiques, de faibles doses d'ibuprofène (inférieure à 1,200 mg/jour) ne semblent pas associées à une augmentation du risque d'infarctus du myocarde.
Ce traitement ne pourra être envisagé qu'avec prudence chez un patient ayant des antécédents d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque, après avis du médecin et/ou du pharmacien, si une rétention hydrique, une hypertension ou un œdème ont déjà été observés lors d'un traitement par les AINS.
Réactions cutanées
Des réactions cutanées sévères, certaines fatales, telles que dermatite exfoliative, syndrome de Stevens Johnson, et nécrolyse épidermique toxiques ont été très rarement observées lors de traitement par les AINS (voir rubrique 4.8).Le risque le plus élevé est en début de traitement, l'apparition de ces réactions apparaissant au cours du premier mois de traitement dans la plupart des cas. RHINADVIL RHUME, IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE devra être interrompu dès l'apparition de rash cutané, lésions muqueuses, ou tout autre signe d'hypersensibilité.
Précautions d'emploi
Pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, ce médicament ne devrait être administré à la femme enceinte qu'en cas d'absolue nécessité (voir rubrique 4.6).
Liées à la présence de chlorhydrate de pseudoéphédrine:
Liées à la présence d'ibuprofène:
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Liées à la présence de chlorhydrate de pseudoéphédrine:
Associations contre-indiquées
+ IMAO non sélectifs (iproniazide):
Hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale.
Du fait de la longue action des IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.
+ Autres sympathomimétiques indirects:
Médicaments vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine), et méthylphénidate:
Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.
+ Sympathomimétiques alpha (voie orale et/ou nasale)
Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.
Associations déconseillées
+ IMAO-A sélectifs:
Risque de vasoconstriction et/ou de poussée hypertensive.
+ Linézolide:
Risque de vasoconstriction et/ou de poussée hypertensive.
+ Alcaloïdes dopaminergiques de l'ergot de seigle
Risque de vasoconstriction et/ou de poussée hypertensive.
+ Alcaloïdes vasoconstricteurs de l'ergot de seigle:
Risque de vasoconstriction et/ou de poussée hypertensive.
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi
+ Anesthésiques volatils halogénés:
Poussée hypertensive pré-opératoire.
En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.
Liées à la présence d'ibuprofène:
Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont susceptibles de favoriser la survenue d'une hyperkaliémie: les sels de potassium, les diurétiques hyperkaliémiants, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, les inhibiteurs de l'angiotensine II, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les héparines (de bas poids moléculaire ou non fractionnées), la ciclosporine et le tacrolimus, le triméthoprime. La survenue d'une hyperkaliémie peut dépendre de l'existence de facteurs de risque associés. Ce risque est majoré en cas d'association des médicaments sus-cités.
Plusieurs substances sont impliquées dans des interactions, du fait de leurs propriétés antiagrégantes plaquettaires: l'acide acétylsalicylique et les AINS, la ticlopidine et le clopidogrel, le tirofiban, l'eptifibatide, l'abciximab, l'iloprost.
Associations déconseillées
+ Autres AINS (y compris l'acide acétylsalicylique à fortes doses)
Augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergie additive).
+ Corticoïdes
Augmentation du risque de saignement ou d'ulcère gastro-intestinal (synergie additive).
+ Anticoagulants oraux
Augmentation du risque hémorragique de l'anticoagulant oral (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS).
+ Les AINS
Peuvent augmenter les effets des anti-coagulants, telle la warfarine (voir rubrique 4.4).
Si l'association ne peut être évitée, étroite surveillance clinique et biologique.
+ Héparines à doses curatives (de bas poids moléculaire ou non fractionnées) ou chez le sujet âgé
Augmentation du risque hémorragique de l'anticoagulant oral (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS).
Si cette association ne peut être évitée, une surveillance clinique étroite est nécessaire.
+ Anti-agrégants plaquettaires
Augmentation du risque de saignement gastro-intestinal (voir rubrique 4.4).
+ Lithium
Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l'excrétion rénale du lithium).
Si l'association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et après l'arrêt de l'AINS.
+ Inhibiteur sélectifs de la recapture de la sérotonine
Augmentation du risque de saignement gastro-intestinal (voir rubrique 4.4).
+ Méthotrexate utilisé à des doses supérieures à 20 mg/semaine:
Augmentation de la toxicité, notamment hématologique, du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi
+ Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l'angiotensine II
Insuffisance rénale aiguë chez le malade à risque (sujet âgé et/ou déshydraté) par diminution de la filtration glomérulaire (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS)
Par ailleurs, risque de réduction de l'effet antihypertenseur.
Hydrater le malade et surveiller la fonction rénale en début de traitement.
+ Méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 20 mg par semaine
Augmentation de la toxicité, notamment hématologique, du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
+ Ciclosporine, tacrolimus
Risque d'addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé.
La fonction rénale doit être surveillée en début du traitement par AINS.
Associations à prendre en compte
+ Autres anti-agrégants plaquettaires (ticlopidine, clopidogrel, tirofiban, eptifibatide et abciximab, iloprost)
Augmentation du risque hémorragique.
+ Autres hyperkaliémiants (sels de potassium, diurétiques épargneurs de potassium, inhibiteurs de l'enzyme de conversion, inhibiteurs de l'angiotensine II, autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, héparines de bas poids moléculaire ou non fractionnées, ciclosporine, tacrolimus, triméthoprime):
Risque d'hyperkaliémie.
+ Bêtabloquants
Réduction de l'effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS).
+ Héparines à doses prophylactiques (en dehors du sujet âgé)
Augmentation du risque hémorragique.
4.6. Grossesse et allaitement
Grossesse
Chlorhydrate de pseudoéphédrine:
Des études chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction (voir rubrique 5.3). Le chlorhydrate de pseudoéphédrine diminue la circulation utérine chez la mère, mais les données cliniques sont insuffisantes pour apprécier les effets sur la grossesse.
Ibuprofène:
L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter la grossesse ou le développement embryofœtal.
Des données épidémiologiques ont évoqué une possible augmentation du risque d'interruption de grossesse, de malformations cardiaque ou gastrique, après la prise, en début de grossesse, d'inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
Le risque augmenterait avec la dose et la durée du traitement.
Des études chez l'animal ont montré une toxicité reproductible sur la reproduction.
Pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, l'ibuprofène ne sera administré que si absolument nécessaire.
Si l'ibuprofène doit être administré à une femme en désir de grossesse, ou pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, la dose sera la plus faible possible, la durée de traitement aussi courte que possible.
Au cours du 3eme trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer:
o une toxicité cardiopulmonaire (hypertension artérielle pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel).
o un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligoamnios.
o un allongement éventuel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant apparaître, même à faible dose,
o une inhibition des contractions utérines allongeant ou modifiant la durée du travail.
En conséquence, l'utilisation de RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE est:
Allaitement
La présence de chlorhydrate de pseudoéphédrine parmi les constituants conditionne la conduite à tenir pendant l'allaitement, le chlorhydrate de pseudoéphédrine passant dans le lait maternel.
Compte tenu des possibles effets cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE a peu ou pas d'effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Prévenir les patients de l'apparition possible de vertiges et de troubles de la vue.
4.8. Effets indésirables
Liés au chlorhydrate de pseudoéphédrine:
Troubles cardiaques
Troubles visuels
Troubles gastro-intestinaux
Troubles du système nerveux
Troubles psychiatriques
Une fièvre, un surdosage, une association médicamenteuse susceptible de diminuer le seuil épileptogène ou de favoriser un surdosage, ont souvent été retrouvés et semblent prédisposer à la survenue de tels effets (voir rubriques 4.3 et 4.4).
Troubles urinaires
Troubles cutanés
Troubles vasculaires
Liés à l'ibuprofène
Des études cliniques et épidémiologiques suggèrent que la prise d'ibuproféne (particulièrement à des doses élevées de 2, 400 mg/jour) et lors de traitement à long terme, peut être associée à une légère augmentation du risque de thrombose artérielle (i.e infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral): voir rubrique 4.4.
Les effets secondaires le plus fréquemment observés sont de nature gastro-intestinale:
Des ulcères gastro-duodénaux, des perforations ou des saignements gastro-intestinaux, quelquefois fatals, peuvent être observés en particulier chez le sujet âgé (voir rubrique 4.4). Des cas de nausées, vomissements, diarrhée, flatulence, constipation, dyspepsie, douleur abdominale, melaena, haematémése, stomatite ulcérative, exacerbations de colite ou maladie de Crohn, (voir rubrique 4.4) ont été rapportés après administration. Moins fréquemment, des gastrites ont été observées.
Œdème, hypertension, et insuffisance cardiaque ont été également rapportés lors de traitements par AINS.
Système sanguin et lymphatique
Troubles visuels
Effets gastro-intestinaux:
Troubles généraux
Modification de l'immunité
Troubles infectieux
Biologie
Effets sur les tissus mous et l'appareil musculo-squelettique
Effets sur le système nerveux central
Troubles rénaux ou urinaires
Troubles respiratoires thoraciques ou médiastinaux
Troubles cutanés ou sous-cutanés
4.9. Surdosage
Le surdosage en chlorhydrate de pseudoéphédrine peut entraîner: accès hypertensif, troubles du rythme, convulsions, délire, hallucinations, agitation, troubles du comportement, insomnie, mydriase, accident vasculaire cérébral.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique: autres médicaments du rhume
Classe pharmacothérapeutique: décongestionnant nasal à usage systémique / pseudoéphédrine en association
Code ATC: R05X
Code ATC: R01BA52
RHINADVIL RHUME IBUPROFENE/PSEUDOEPHEDRINE associe un vasoconstricteur (le chlorhydrate de pseudoéphédrine) et un AINS à une dose antalgique (l'ibuprofène).
L'ibuprofène est un anti-inflammatoire non stéroïdien, appartenant au groupe des propioniques, dérivé de l'acide arylcarboxylique. Il possède les propriétés suivantes:
L'ensemble de ces propriétés est lié à une inhibition de la synthèse des prostaglandines.
La pseudoéphédrine est un sympathomimétique qui, pris par voie systémique, agit comme décongestionnant nasal.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Ibuprofène:
La pharmacocinétique de l'ibuprofène est linéaire aux doses thérapeutiques.
Absorption:
La concentration sérique maximale est atteinte environ 90 minutes après administration par voie orale.
Après prise unique, les concentrations sériques maximales, chez l'adulte sain, sont proportionnelles à la dose (Cmax 17 ± 3,5 µg/ml pour une dose de 200 mg et 30,3 ± 4,7 µg/ml pour une dose de 400 mg).
L'alimentation retarde l'absorption de l'ibuprofène.
Distribution:
L'administration de l'ibuprofène ne donne pas lieu à des phénomènes d'accumulation. Il est lié aux protéines plasmatiques dans la proportion de 99 %.
Dans le liquide synovial, on le retrouve avec des concentrations stables entre la deuxième et la huitième heure après la prise, la Cmax synoviale étant environ égale au tiers de la Cmax plasmatique.
Après la prise de 400 mg d'ibuprofène toutes les 6 heures par des femmes qui allaitent, la quantité d'ibuprofène retrouvée dans leur lait est inférieure à 1 mg par 24 heures.
Métabolisme:
L'ibuprofène n'a pas d'effet inducteur enzymatique. Il est métabolisé pour 90 % sous forme de métabolites inactifs.
Excrétion:
L'élimination est essentiellement urinaire, elle est totale en 24 heures, à raison de 10 % sous forme inchangée et de 90 % sous forme de métabolites inactifs, essentiellement glucuroconjugués.
La demi-vie d'élimination est de 2 heures environ.
Les paramètres cinétiques sont peu modifiés chez le sujet âgé, chez l'insuffisant rénal et chez l'insuffisant hépatique. Les perturbations observées ne justifient pas une modification de la posologie.
Chlorhydrate de pseudoéphédrine:
Après administration par voie orale, la pseudoéphédrine est excrétée essentiellement par voie rénale sous forme inchangée (70 à 90 %).
Sa demi-vie d'élimination est dépendante du pH urinaire.
L'alcalinisation des urines entraîne une augmentation accrue de la réabsorption tubulaire, avec pour conséquence un allongement de la demi-vie d'élimination de la pseudoéphédrine.
5.3. Données de sécurité préclinique
Les DL50 de l'association ibuprofène / chlorhydrate de pseudoéphédrine, en administration orale, dans les études de toxicité aiguë sont respectivement de 2,40 g/kg chez la souris et de 1,45 g/kg chez le rat.
Aucune étude de toxicité après administration de doses répétées n'a été menée avec les principes actifs pris séparément ou avec l'association ibuprofène-chlorhydrate de pseudoéphédrine.
Le test d'Ames réalisé avec l'ibuprofène ou l'association chlorhydrate de pseudoéphédrine/ ibuprofène n'a pas révélé de mutagénicité.
Les études de toxicité chronique ou subchronique de l'ibuprofène chez l'animal ont principalement montré des lésions et ulcérations du tractus digestif; lors des études chez le rat ou la souris, il n'est apparu aucun effet cancérigène induit par l'ibuprofène.
Les études de reprotoxicité réalisées chez le rat ou la souris, avec chacun des principes actifs (100 mg/kg d'ibuprofène, ou 15 mg/kg de chlorhydrate de pseudoéphédrine), ou avec l'association, n'ont mis en évidence aucune toxicité maternelle, fœtale, ou tératogène.
A dose toxique pour la mère, le chlorhydrate de pseudoéphédrine induit une fœtotoxicité (diminution du poids fœtal, retard d'ossification) chez le rat.
Aucune étude de fertilité péri-post natale n'a été menée avec le chlorhydrate de pseudoéphédrine.
Des études récemment publiées de toxicité sur la reproduction, menées avec l'ibuprofène ont démontré une inhibition de l'ovulation chez le lapin et une altération de l'implantation dans différentes espèces (lapin, rat, souris).
Des études récemment publiées, chez le rat et le lapin, ont démontré un passage de l'ibuprofène dans le placenta.
A des doses toxiques chez la mère, il a été observé une augmentation des malformations (malformation du septum ventriculaire).
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Amidon de maïs
Acide stéarique
Croscarmellose sodique
Laurilsulfate de sodium
Silice colloïdale anhydre
Amidon de pomme de terre prégélatinisé
Enrobage:
Saccharose
Cellulose microcristalline
OPAGLOS GS-2-0310 (gomme laque, povidone K30)
OPALUX AS-3739 (dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge (E172), saccharose, povidone K30, parahydroxybenzoate de méthyle (E218), parahydroxybenzoate de propyle (E216)) Encre noire OPACODE S-1-27794 (gomme laque, oxyde de fer noir (E172), N-butylalcool, eau purifiée, propylène glycol, alcool éthylique dénaturé, alcool isopropylique).
Cire de carnauba
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
20 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d'exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
PFIZER SANTE FAMILIALE
23-25, AVENUE DU DOCTEUR LANNELONGUE
75014 PARIS
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter par le titulaire]
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Médicament non soumis à prescription médicale.
RCP | http://agence-prd.ansm.sante.fr/php/ecodex/notice/N0247605.htm |
Quantité | Remise | Vous économisez |
---|
Vicks Inhaler
Actifed Rhume 15 cpr.
Humex Rhume Jour et Nuit
Dolirhumepro
Dolirhume
FERVEX Adultes sans sucre.
Essence Algérienne
Bronchodermine Pommade
Rhinotrophyl Gouttes nasales
Vicks vaporub pot 100g
Balsolène
Belivair Nez bouché Eau de Mer Hypertonique
Belivair Eau de Mer Hygiène du nez
Kaloba 20 mg Rhume comprimés
Fervex Rhume
Rhinadvilcaps rhume
Rhinofebral
Vicks Steam Inhaler vapeur
Sinuphyl 20 comprimés
Sinufix 15 capsules
Phytovex Immunité Spray Buccal
Paiement sécurisé
Modes de livraison
Frais de port offerts
à partir de 35 € d'achats
Service client
contact@pharma-z.com
Facebook